Répète du twenty one

Coucou la cie,

Bon, j'ai bien chargé le ftp...
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Pour hier, heu, toutes mes excuses pour la basse... On n'entend qu'elle, et donc particulièrement les pains, avec... En fait, le passage du milieu n'est utile qu'à moi (et un peu à David aussi), car on entend personne d'autre, surtout quand je suis taquet...
Comment ça se fait qu'on se soit laissé aller tout la répète avec ce mix aussi pourri ? Soit, la prise de son a favorisé la basse, l'ampli étant presque dans l'axe, soit j'étais vraiment beaucoup trop fort, toute la répète... Dans le dernier cas, c'est grave, parce que vous auriez du me le dire... Vous me l'avez dit en début de répète, mais David m'a demandé plus de son à un moment, et après, je ne m'en suis plus occuppé... Donc, vous auriez du me le redire... Vous savez, moi, je suis basique, faut me dire : " Christian, baisse la basse", sinon je saisie pas...

Bref, c'est une vraie catastrophe, ou une vraie poilade, ça dépend comment on le prend, mais ya aucun passage du milieu audible... Encore une fois, désolé (purée, c'te honte)...
Je crois qu'il est temps que je rappelle un ingé son que j'ai rencontré (celui qui m'a vendu les micros de prise de son).

Mais bon, que ça ne vous empêche pas d'être plein de bonne volonté, en répétant grâce à ce son, ou les deux derniers : je crois que ce ne sera pas un luxe, vu qu'il ne nous reste qu'une répète avant le 21, sur ce morceau, et encore, pas entière... (et je dis ça, je m'implique en premier, évidemment, vu comment je sors !!! purée, chui vert...). Elle doit passer comme la version de 10h20 d'entrée de jeu, le 20 juin, pour qu'on ait plus qu'à paufiner... Bref, tout un programme : bon courage...

Bises tlm...

Par contre, bravo la flûte, les voix, la contre, (on entend pas la gratte)... bravo à David, car ce morceau est une vraie perf pour la batterie, faut pas l'oublier... bref, bravo tous les autres, quoi....

Retour légitime: bravo à toi pour la basse!

J'ai
bien réécouté les recs et je trouve qu'elle apporte vraiment quelque
chose... pour moi il y a le violoncelle qui pose le morceau, qui amène
son identité, sa personnalité, etc et il y a la basse qui donne
vraiment la contrepartie. Je dirais même qu'elle prend le devant (et
qu'il faut le lui donner!) pendant les parties plus énervées (milieu).
A part au début et à la fin où elle est plus en arrière, au 2nd plan,
elle pète au milieu et je pense qu'il faut qu'on (les autres) adapte
nos jeux afin d'être "à son service"; plutôt que jouer chacun sa partie
sans but commun.

Pour moi, ce morceau c'est avant tout un duo/
un duel entre le violoncelle et la basse (le noyau)... avec pleins
d'autres instruments-satellites.
Voilà, ta basse apporte vraiment de la puissance, un univers qui décline bien celui porté par le cello. bravo encore!

Cette
réflexion je l'ai souvent et depuis longtemps. Je ne suis pas fan du
fait que chacun cherche sur chaque morceau une mélodie absolument
différente des autres; ça revient à ce que chacun joue tout seul dans
son coin. Même si on suit tous une même trame, la structure du morceau,
parfois je pense qu'i n'est pas forcément nécessaire qu'on suive tous
des chemins différents sans jamais se croiser. Parfois j'aime bien
l'effet que rend un jeu global éparpillé, comme des petites abeilles
qui voltigent dans tous les sens... ça donne une ambiance bizarre
(j'adoore!). Mais parfois je trouve mieux, pour la puissance et surtout
l'émotion, que nos chemins se croisent et qu'on fasse musicalement, sur
quelques notes, un bout de chemin ensemble.

J'espère que je ne
suis pas trop barré dans mes explications et à peu près compréhensible.
La force de notre collectif c'est la diversité et le mélange. Mais trop
d'individualité tue l'originalité (ce qui fait qu'on est souvent
brouillon au niveau du son); parfois jouer tous à "l'unisson" permet de
donner de la cohésion à notre son, à notre jeu. Parfois une idée
musicale simple et déjà chargée en émotion n'a peut-être pas besoin
qu'on lui rajoute des couches et des couches d'instru. Bien que j'aime
la complexité (comme vous pouvez vous en apercevoir dans certaine de
mes compos), j'aimerais revenir de temps en temps à plus de simplicité.
("le mieux est l'ennemi du bien").

Bon, je m'arrête, je ferme ma gueule, promis... à votre tour de l'ouvrir, le débat l'est!
LAu..

Petit retour, à froid, cette fois-ci...

Merci, pour tous ces compliments... Je sais jamais trop quoi dire dans ces cas-là, alors je ne vais rien dire... Sauf que je t'ai trouvé bien généreux avec une basse qui merde sur chacune des prises, sur la première partie du milieu... C'est juste impardonable, sachant que ça fait deux ans qu'on la joue...
Mais passons...

Dans cette combinaison déjà bien chargée , le violon a manqué cruellement en soutien du violoncelle... Il a un sacré rôle, maintenant, dans cette chanson (comme dans les autres d'ailleurs). Je pense effectivement que la basse, composée pour soutenir le violoncelle au départ, s'est un peu émancipé, surtout sur la deuxième partie du milieu, et que l'on a à faire, maintenant, à deux rythmiques, certes liés, mais se distinguant pour plus de relief : violoncelle-violon et batterie-basse... Samples et flûtes se sont rangés naturellement du côté du viloncelle, jouant les judas tout de même sur des dissonances, ça et là. Tellement troublant que sur une des fins (grand pays 4), j'ai pris la flûte pour le violoncelle, l'espace d'un instant...

S'il manquait encore une chose maintenant, c'est un chant encore plus fédérateur, encore plus liant que cela, et, à mon sens, encore trop du côté mélodique.
Comme l'a dit Noémie, c'est vraiment dommage qu'on ait pas entendu plus la voix de Marion, surtout au départ, ou ça rappe un peu... Chui vraiment fan du débit à ce moment-là... Il exacerbe le côté mélange, flou artistique, brouillant les pistes rythmiques déjà bien entamées, avec ses fins de phrasés qui "débordent"...
Quand on fait abstraction du volume de la basse et qu'on essaie d'écouter derrière, ce qu'il se passe, ya vraiment un sens qu'on a pas eut jusqu'à lors sur ce morceau... C'est très encourageant.
Maintenant, la fameuse version avec la percu fait un peu d'ombre sur la version sans d'aujourd'hui... Y'avait un côté tribal très chaud, qui contrastait avec un milieu énervé, bien glacial...
Je crois que je peux tenir le ternaire sur la cymbale (si on ne me demande que ça...) et David pourrait alors recoller sa percu... à voir...